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l'édito... l'édito... l'édito...
NOS REPERES EN DANGER

Que mon propos soit clair, chacun fait ce qu’il veut et trouve son bonheur là où il le veut, ou le peut.

Ceci étant dit, il faut absolument être conscient que chaque individu a droit à son intimité intellectuelle, à un ultime recours que certains nomment religion, et que, dans notre démarche, il faut bien se garder de souiller ce domaine qui confine au sacré.
Chaque individu croit en quelque chose, même les athées quoiqu’ils s’en défendent.
Faisons donc très attention à ce que l’on dit ou écrit qui puisse blesser les convictions (religieuses) des autres.
Je sais qu’il est de bon ton dans certains milieux médiatiques de railler avec un goût de bas étage les instances religieuses, y compris les plus hautes, mais j’ignore ces gens là, tout en leur exprimant mon plus profond mépris.

Si donc, j’ai éprouvé le besoin d’écrire ces quelques lignes, c’est que, étant de religion catholique, je lis au hasard des sites, par des auteurs dont je ne suis pas toujours certain de leur qualité à traiter du sujet, la démolition systématique, sous le couvert de savantes recherches, de toute cette tradition religieuse.
Il est évident que cette remise en cause n’est pas étrangère au désir d’acquérir une certaine notoriété. Pour cela, ils n’hésitent pas à tout remettre en cause :
- Jésus a-t il vraiment existé ?
- Est-ce bien lui qui est mort sur la croix ?
- N’était-il pas marié ?
- N’a-t-il pas eu une descendance ?
- Son tombeau est suivant les auteurs très itinérant, allant de l’Inde au Razès (Aude) !
- Et que dire de cette pauvre Marie-Madeleine à qui l’on fait faire pas mal de tourisme ?

Que reste-t-il du sacré dans tout cela ? Rien.
Si encore les écrits de ces puissants chercheurs  apportaient l’embryon d’une preuve de ce qu’ils affirment !
Mais non, rien. Tout – ou presque – n’est que verbiage.

Vous n’en avez pas besoin du sacré ? Moi, si !

Alors, toutes ces élucubrations, dans ce cas, je les rejette tant qu'elles resteront au stade de l'hypothèse.


Amicalement.
Jean-Claude.
Septembre 2008.